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Principaux films sortis en 1980

 
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MessagePosté le: 21 Jan 2007, 14:47    Sujet du message: Principaux films sortis en 1980 Répondre en citant

Je commence un long post déjà entamé sur un autre forum sur le cinéma des années 80.
Mes sources : Wikipédia et d'autres sites sur le cinéma.


Shining (The Shining) est un film américain de Stanley Kubrick sorti en 1980 et tiré du roman éponyme de Stephen King.

Synopsis :

Jack Nicholson y joue le rôle de Jack Torrance, un écrivain un peu perdu, en panne d'inspiration, qui, pour écrire sereinement son nouveau roman accepte un emploi un peu particulier comme gardien d'un hôtel coupé du monde durant tout l'hiver. Accompagné de sa femme Wendy et de Danny, leur fils, il va petit à petit perdre la raison sous l'influence de cet hôtel où de terribles évènements ont à jamais marqué les lieux...
Le titre évoque le don de télépathie que possèdent à divers degrés tous les personnages de ce film, mais plus particulièrement Danny, le fils de Jack Torrance, et le cuisinier noir de l'hôtel. Ce dernier utilisait ce don pour « parler » pendant des heures avec sa grand-mère, et tous deux l'avaient appelé « the Shining ».
Notons que Shining a été réalisé suite à l'échec commercial de Barry Lyndon du même réalisateur : le genre suspense/horreur et l'adaptation de Stephen King étant pour la Warner Bros. Pictures une garantie de succès commercial.
La bande-annonce du film est une des plus célèbres et réussit à produire une tension insoutenable et à susciter l’horreur en une courte durée.

Fiche technique :

Titre : Shining
Titre original : The Shining
Film britannique
Réalisateur : Stanley Kubrick
Année : 1980
Genre : horreur, fantastique
Durée : 119 minutes ou 146 minutes (version intégrale)

Distribution :

Jack Nicholson : Jack Torrance
Shelley Duvall : Wendy Torrance
Danny Lloyd : Danny Torrance
Scatman Crothers : Dick Hallorann
Barry Nelson : Stuart Ullman
Philip Stone : Delbert Grady
Joe Turkel : Lloyd

Un film choc :

Loin d'être un film vraiment violent, Shining est avant tout un long métrage angoissant dans lequel règne une ambiance froide et morbide. Cependant, certaines scènes, courtes mais efficaces, ont installé la réputation du film, notamment les flots de sang jaillissant d'un ascenseur ou encore la scène où Jack Nicholson défonce une porte à coups de hache.
L'esthétique particulière du film tient en partie à l'utilisation par le réalisateur d'objectifs de caméra déformants donnant à l'image une dimension étrange. Les éclairages également ainsi que la mise en scène et les mouvements de caméra, très géométriques, participent à cette identité visuelle singulière.

Notes :

Les personnages vont au fil du film se perdre et ce à différents niveaux : physiquement, émotionellement et mentalement. La symbolique du labyrinthe est donc très présente et se traduit notamment à travers des décors. On trouve tout d'abord un labyrinthe de verdure, présent dans deux scènes, et qui joue un rôle important dans l'histoire. Puis L'hôtel lui-même, immense, avec ses couloirs sans fin et sa chambre interdite, qui est un véritable dédale, inquiétant et menaçant : les scènes où Danny le parcourt frénétiquement sur son tricycle sont réellement angoissantes.
Enfin, le labyrinthe de l'esprit : certains fantômes affirment à Torrance que ce dernier est employé dans l'hôtel depuis très longtemps. On pourrait croire qu'il ne s'agit que d'une hallucination du personnage, mais le dernier plan du film, à l'attention des seuls spectateurs (il n'y a plus aucun personnage sur place ni à proximité), nous montre sur une photo, un demi-siècle plus tôt en 1921, Jack Torrance en habit de soirée participant à une fête donnée à l'hôtel (Kubrik a repris une photo ancienne réelle sur laquelle il a incrusté le visage de Jack Nicholson).
Le caractère énigmatique et troublant de cette fin rapproche Shining de 2001, l'odyssée de l'espace,les deux films présentant d'ailleurs plusieurs autres points communs, notamment d'un point de vue esthétique.



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MessagePosté le: 21 Jan 2007, 15:07    Sujet du message: Répondre en citant

Fame est un film américain musical réalisé en 1980 par Alan Parker.

Synopsis :

La célèbre High School of Performing Arts de New York, seule école artistique publique, fait passer les auditions de danse, musique et art dramatique à ses futurs élèves. Parmi eux, Montgomery, Bruno, Doris, Leroy, Coco et Ralph réussissent leur examen d'entrée. Quatre années d'études sont prévues : la Freshman Year, la Sophomore Year, les Junior et Senior Years, au cours desquelles ils vont devoir travailler beaucoup sans être certains de réussir. La rencontre, en fin de première année de Michael, ancien élève et séducteur de l'école, devenu serveur dans un restaurant, les fera réfléchir. Tous essayent de concilier l'apprentissage de leur métier avec leurs problèmes personnels: Montgomery souffre de solitude, Ralph et Coco de leurs humbles origines, Doris d'une mère abusive, Hilary, la danseuse qui ravit à Coco le coeur de Leroy, est d'un orgueil démesuré... Amitiés, amours, découragements; c'est au-delà de ce qui fait la vie quotidienne de tous ces jeunes gens qu'ils devront se placer au jour du concours final "Graduation Day". Chacun devra donner le meilleur de lui-même.

Fiche technique :

Titre : Fame
Réalisation : Alan Parker
Scénario : Christopher Gore
Musique : Michael Gore
Chorégraphie : Louis Falco
Date de sortie : 16 mai 1980 (États-Unis)
Film américain
Format : 35 mm, 1.85:1 (couleurs, son Dolby)
Genre : drame musical
Durée : 135 minutes
Tout public

Distribution :

Irene Cara : Coco Hernandez
Gene Anthony Ray : Leroy Johnson
Lee Curreri : Bruno Martelli
Laura Dean : Lisa Monroe
Antonia Franceschi : Hilary van Doren
Boyd Gaines : Michael
Albert Hague : Benjamin Shorofsky
Tresa Hughes : Mrs Naomi Finsecker
Steve Inwood : François Lafete
Paul McCrane : Montgomery MacNeil
Anne Meara : Mrs Elizabeth Sherwood
Joanna Merlin : Miss Berg
Barry Miller : Ralph Garcey (Raúl García)
Jim Moody : Mr Farrell

Notes :

C'est la MGM qui proposa le film à Alan Parker à qui l'on fit parvenir une première ébauche du scénario écrite par Christopher Gore, d'après une idée originelle de David De Silva. Enthousiasmé par l'idée, après avoir séjourné quelque temps dans l'école en question, Parker donna son accord. Restait l'accord des syndicats New-Yorkais. Car Alan Parker est anglais et Fame un projet entièrement américain. Le réalisateur de Bugsy Malone obtint l'autorisation, non seulement pour lui, mais pour ses collaborateurs habituels : son producteur, son directeur de la photographie, son monteur (Gerry Hambling), son décorateur (Geoffrey Kirkland) et son opérateur (John Stanier). C'est en avril 79 que débutèrent les premières auditions qui s'étalèrent sur quatre mois. Fame fut tourné à la Haaren High School et à la Ninth Street School et non à la High School of Performing Arts, où l'action se déroule, et qui forma des talents tels Liza Minnelli, Al Pacino et Ben Vereen. La séquence finale ("The Body Electric"), qui demanda quatre jours de tournage, est constitué d'un thème musical unique qui rappelle les trois thèmes principaux du film, et qui réunit harmonieusement le gospel, le rock et le classique. Le succès de Fame fut tel qu'on en tira un feuilleton télévisé.



Dernière édition par Kolaps le 01 Mar 2007, 14:29; édité 1 fois
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MessagePosté le: 22 Jan 2007, 17:02    Sujet du message: Répondre en citant

Mon oncle d'Amérique (1980) est un film de Alain Resnais.

Synopsis :

Trois destinées distinctes finissent par se rencontrer à un point précis de chacune d'elles. Jean appartient à la bourgeoisie traditionnelle. Il a de l'imagination et de l'ambition et mène une carrière politique et littéraire. Un soir, il rencontre une jeune comédienne, Janine, et, pour elle, quitte femme et enfants. Janine est fille de militants communistes. Elle abandonne brusquement son environnement familial et social contraignant (et pauvre) pour "vivre sa vie". Sa vie, c'est le théâtre. Sa liaison avec Jean prend fin à la suite d'une démarche de l'épouse de ce dernier, qui utilise le chantage au sentiment. Janine change de métier, d'ambiance, devient conseillère d'un groupe industriel et commercial. C'est à ce titre qu'elle aura à s'occuper du cas de René Ragueneau. René, fils de paysans catholiques, catholique lui-même, a abandonné le travail de la terre pour celui du textile. Il est devenu chef de service. Mais la crise économique et les jeux de l'ambition humaine lui occasionnent une série de déconvenues et humiliations professionnelles. Mal armé pour les affronter, il adopte une attitude farouche et des réactions maladroites qui le conduisent à une tentative de suicide. Au fur et à mesure que les trois branches de l'histoire se développent, les interventions "hors texte" d'un savant biologiste (Henri Laborit, dans son propre rôle) nous renseignent sur certaines lois du comportement humain fondées sur l'étude du cerveau et de la physiologie animale en général. Ces théories, clairement exposées, soutiennent que les actes qu'accomplissent l'individu sont déterminés par le conditionnement de la petite enfance. Chacun réagit selon des pulsions de type primaire : la lutte avec le rival ou la fuite devant l'ennemi, selon le cas. Lorsque le sujet est incapable de choisir entre l'affrontement et la dérobade, il se produit le phénomène d'inhibition qui peut conduire à des réactions-limites comme le suicide.

Fiche technique :

Réalisation : Alain Resnais
Scénario : Jean Gruault
Directeur de la photographie : Sacha Vierny
Musique : Arié Dzierlatka
Production : Philippe Dussart / Andrea-Film / TF1 Distribution /
Les Films Galatée / Gaumont
Durée 125 minutes

Distribution :

Roger Pierre : Jean Le Gall
Nicole Garcia : Janine Garnier
Gérard Depardieu : René Ragueneau
Pierre Arditi : Zambeaux, le représentant de la direction générale à Paris
Philippe Laudenbach : Michel Aubert
Marie Dubois : Thérèse Ragueneau
Jean Dasté : Mr Louis
Nelly Borgeaud : Arlette Le Gall
Bernard Malaterre : Le père de Jean
Laurence Roy : La mère de Jean
Alexandre Rignault : Le grand-père de Jean
Gérard Darrieu : Léon Veestrate
Catherine Frot (première apparition à l'écran)

Notes :

Alain Resnais s'inspire ici de la pensée d'un savant, le chirurgien-biologiste-sociologue Henri Laborit dont il a lu, apprécié et assimilé toute l'oeuvre. Au départ, les deux hommes devaient collaborer pour un court-métrage de commande financé par un laboratoire pharmaceutique. Le projet n'aboutit pas mais la rencontre Resnais-Laborit avait eu lieu. Le scénariste Jean Gruault, dont la plume a servi Godard, Rossellini, Truffaut, etc., travailla avec Resnais à l'élaboration de l'histoire. Mon oncle d'Amérique obtint le "Prix Spécial du Jury" au Festival de Cannes 1980.

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MessagePosté le: 01 Mar 2007, 14:40    Sujet du message: Répondre en citant

Y a-t-il un pilote dans l'avion ? est un célèbre film comique américain sortie en 1980.

Synopsis :

Los Angeles. Les passagers du vol 209 à destination de Chicago prennent place dans l'appareil. Elaine, l'hôtesse, vient d'annoncer à Ted qu'elle le quittait. Celui-ci, chauffeur de taxi, abandonne son client, achète un billet, réussissant à dominer sa peur. C'est un ex-pilote de chasse traumatisé pendant la Seconde Guerre mondiale par une opération de commando qui provoqua la mort de plusieurs de ses camarades. À l'heure du repas, les passagers doivent choisir entre la viande et le poisson. Tous ceux qui choisissent le poisson sont bientôt victimes d'une intoxication alimentaire. Les trois pilotes s'évanouissent en série et au moment où l'avion traverse une forte tempête, il se retrouve abandonné dans les airs. Elaine déclenche le fonctionnement du pilote automatique, Otto, puis se met en quête d'un médecin. L'un des passagers est effectivement médecin : le docteur Rumack essaie de rassurer les gens mais, au fur et à mesure qu'il ment, son nez s'allonge. Au sol, une équipe de contrôleurs dirige les opérations. Elle fait appel à Kramer, un vétéran de la dernière guerre mondiale. Ted est la seule personne dans l'avion à pouvoir le piloter. Le docteur Rumack le convainc de s'installer aux commandes. Ted doit entrer en contact avec Kramer qui fut autrefois son supérieur hiérarchique. Déculpabilisé grâce au médecin qui apporte son témoignage sur le triste événement qui, jadis, frappa Ted, ce dernier surmonte enfin sa peur. Avec l'aide d'Elaine, il tente un atterrissage forcé qui n'entraîne que quelques dégâts matériels. Soulagés, les passagers quittent l'avion tandis que Ted et Elaine apparaissent définitivement réconciliés.

Fiche technique :

Titre original : Airplane !.
Réalisation et scénario : Jim ABRAHAMS, David et Jerry ZUCKER (1980)
Directeur de la photographie : Joseph BIROC
Musique : Elmer BERNSTEIN
Production : Howard W KOCH / Paramount
Distribution : CIC
Durée : 85 minutes

Distribution :

Elaine : Julie HAGERTY
Ted Striker : Robert HAYS
Le capitaine Oveur : Peter GRAVES
Kramer : Robert STACK
Roger Murdock : Kareem ABDUL-JABBAR
Mc Croskey : Lloyd BRIDGES
Le docteur Rumack : Leslie NIELSEN
Randy : Lorna PATTERSON
Le lieutenant Hurwitz : Ethel MERMAN
Mrs Davis : Joyce BULIFANT
Johnny Hinshaw : Stephen STUCKER
Neubaner : Kenneth TOBEY

Notes :

C'est en voyant un soir à la télévision Zero Hour, réalisé en 1957 par Hall Bartlett, que les frères Zucher (David, 31 ans; Jerry, 29 ans) et Jim Abrahams (35 ans), originaires du Wisconsin et amis de longue date, eurent l'idée d'écrire un premier jet du scénario. Puis ils réalisèrent un premier film, Hamburger film sandwich, composé d'une vingtaine de sketches.
Ils récrivirent une trentaine de fois le scénario de Y a-t-il un pilote dans l'avion ? sur une période de cinq ans. C'est finalement la Paramount qui se lança dans l'entreprise, à condition que celle-ci soit chaperonnée par un vétéran de la production : Howard W. Koch, qui déclara : "C'est l'un des scripts les plus drôles que j'aie jamais lu ! " Ce film comporte de nombreuses références à des films célèbres : Tant qu'il y aura des hommes, Casablanca, La fièvre du samedi soir...
En 1982, les mêmes interprètes retrouvaient dans Y a-t-il enfin un pilote dans l'avion ? (Airplane II : The Sequel), mais le trio "ZAZ" avait laissé place à Ken Finkleman à la réalisation.

Parodies :

Le film lui-même est une longue parodie du premier film catastrophe aérien : Airport.

De nombreuses scènes du film sont inspirées d'autres films plus anciens. Parmi ceux-ci :
A l'heure zéro (1957) : "Y a-t-il un pilote dans l'avion" est presque intégralement inspiré de ce film. Le héros s'appelle Ted Stryker, sa femme Elaine. Il est traumatisé pour avoir causé la mort de ses compagnons de guerre. Il rejoint Elaine dans un avion où la plupart des passagers et de l'équipage tombent malades après avoir mangé du poisson. Finalement, il prend les commandes de l'appareil et sauve tout le monde, retrouvant l'amour d'Elaine. Dans le film de 1957, on voit aussi le petit garçon qui se rend à la cabine de pilotage, le chef de la tour de contrôle qui devrait arrêter de fumer, etc.
Crash Landing (1958) : à 0h21, le jeune garçon vient proposer un café à sa camarade qui l'invite à ses côtés. Elle aime le café noir, "... comme mes hommes", une chute qui ne figurait pas dans Crash Landing.
Depuis ton départ (1941) : à 0h11, un jeune militaire s'apprête à embarquer, embrassant une dernière fois sa fiancée. Le chef (de gare ?) vient le presser, puis l'avion décolle dans un bruit de train à vapeur, pendant que la fiancée court sur le tarmac en renversant les pylônes.
Knute Rockne all American (1940) : à 1h06, alors que Ted perd courage et lâche les commandes de l'avion, le Dr Rumack réussit à lui redonner sa motivation en lui sortant la tirade de Knute Rockne ("Les chances étaient contre nous là-haut, mais on y est allés ..."), avec quelques adaptations.
La Fièvre du samedi soir (1977) : à 0h18, Ted se souvient de sa première rencontre avec Elaine, au Magumba Bar. Ce soir-là, il avait dansé comme un dieu au son de "Staying alive" !
Le Magicien d'Oz (1939) : à 1h16, alors que l'avion a bien du mal à atterrir sur la piste, Johnny continue à faire le guignol dans la tour de contrôle en se prenant pour Dorothy : "Tante Em, Oncle Henry ! Ca tournoie !"
Les Dents de la mer (1975) : Dès le début du film, la musique des Dents de la mer se fait entendre, puis on voit l'aileron d'un avion percer les nuages avant de filer vers le spectateur.
Tant qu'il y aura des hommes (1953) : à 0h22, Elaine se souvient de ce beau jour sur la plage, où Ted lui avait annoncé qu'il était appelé au combat.
Massacre à la tronçonneuse (1974) : 11h12 : Ted maitrise difficilement le jeune enfant venu agresser avec sa glace au chocolat l'homme à la tronçonneuse, que l'on revoit tout à la fin du film.

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MessagePosté le: 01 Mar 2007, 14:50    Sujet du message: Répondre en citant

L'Avare est un film français de Jean Girault et Louis de Funès sorti en France le 5 mars 1980.

Synopsis :

En 1668, dans une maison bourgeoise, Harpagon, riche veuf, vit avec ses enfants Cléante et Élise. Tous deux sont amoureux mais craignent que leur père refuse leur choix car ce dernier préfère un mariage d'argent à un mariage d'amour. Lors d'une entrevue, Cléante, amoureux de Mariane, une jeune fille issue d'une famille modeste, se confie à sa soeur qui à son tour lui avoue ses sentiments pour Valère, l'intendant de la maison. Avec l'aide de Frosine et du cocher-cuisinier, maître Jacques, les jeunes gens vont tenter de faire bénir les deux unions par Harpagon. Mais le vieillard ne veut rien entendre et soupçonne tout le monde d'en avoir à son argent qu'il a enterré dans son jardin. Quiconque s'en approche est considéré comme un espion. Un matin, Harpagon confie à son fils son intention d'épouser la jeune et belle Mariane. Cléante se dispute avec son père et grâce à l'intervention de maître Jacques, les deux rivaux vont se réconcilier. Mais Harpagon découvre le vol de son trésor et accuse tout le monde. Maître Jacques qui tient à se venger de Valère affirme au vieil homme que le vol a été commis par le jeune intendant. Furieux, Harpagon convoque Valère et lui affirme connaître les raisons de son intrusion dans cette maison. Le jeune homme connaît celui qui a pris l'argent. Après une forte dispute, il propose à l'avare de lui ramener son bien à condition qu'il accepte de lui donner la main d'Élise et d'accorder son consentement an mariage de Cléante et Mariane. Harpagon accepte car il ferait n'importe quoi pour retrouver ses dix mille écus.

Fiche technique :

Réalisation : Jean Girault et Louis de Funès
Scénario : D'après l'œuvre de Molière
Adaptation : Jean Girault et Louis de Funès
Dialogue : Molière
Collaboration technique : Jean Halain
Assistants réalisateurs : François Mimet, Bernard Seitz et Eric Flandin (stagiaire)
Production : Films Christian Fechner
Chef de production : Christian Fechner
Producteur délégué : Bernard Artigue
Directeur de production : Bernard Marescot
Administrateur de production : Chantal Malrat
Secrétaire de production : Sylvie François
Distribution : A.M.L.F
Images : Edmond Richard
Opérateurs : Jacques Mironneau, assisté de Philippe Houdart, Jean-Marie Dagoneau
Musique : Jean Bizet (Editions musicales Transatlantique)
Direction d'orchestre : Patrick Marchand
Direction des choeurs : R. Passaquet
Disques exclusivité "Wea International" distribution "Wea Filipacchi Music"
Son : Jean-Pierre Pelissier, Paul Lainé
Perchman : Michel Villain
Chef opérateur son, mixages : Jack Jullian
Décors : Sydney Bettex, assisté de Marc Desages
Montage : Michel Lewin, assisté de Philippe de Chastellux et Claudine Zidi (stagiaire)
Casting : Dominique Besnehard
Créatrice des costumes : Rosine Delamare
Chef costumière : Nicole Bize
Habilleuses : Christiane Marmande, Sophie Breton
Attaché de presse : Marie-José di Tullio
Dessins : Albert Uderzo
Script-girl : Florence Moncorgé-Gabin
Maquillage : Anatole Paris, Anne-Marie Martiguet
Chef coiffeur : Jacques Michel
Ensemblier : Nady Chauviret
Générique : Eurocitel
Tirage : Laboratoire Franay L.T.C Saint-Cloud - Auditorium "Paris Studio Cinéma
Pellicule 35mm Kodak, couleur (en Panavision, magnétique Pyral, Samuelson Alga, Ciné lumière de Paris
Tournage dnas les studios de "Paris Studio Cinéma" de Billancourt et à Senlis
Régie générale : Frédéric Massin, Bernard Vaillant
Régisseur adjoint : Jean-Pierre Farjet
Régie extérieure : Marc Balzarelli
Effets spéciaux : Hervé Lelièvre, Georges Proust
Bruiteur : Jean-Pierre Lelong
Accessoiriste de plateau : Maurice Terrasse
Chef machiniste : Roland Reffet
Chef électricien : Hubert Segond
Chorégraphe : Jean Guélis
Chaussures : Pompeï-Rome
Photographe de plateau : Sylvie Langrenon
Genre : Comédie
Durée : 120mn

Distribution :

Louis de Funès : Harpagon, le père veuf et avare
Frank David : Cléante, le fils d'Harpagon, amoureux de Marianne
Hervé Bellon : Valère, l'intendant d'Harpagon, amoureux d'Elise
Michel Galabru : Maître Jacques, cuisinier et cocher d'Harpagon
Claire Dupray : Elise, la fille d'Harpagon
Claude Gensac : Frosine, l'entremetteuse
Anne Caudry : Marianne, la jeune fille aimée de Cléante
Bernard Menez : La Flèche, le valet de Cléante
Georges Audoubert : Anselme / Don Thomas d'Alburcie
Henri Génès : le commissaire
Guy Grosso : Brindavoine, un serviteur d'Harpagon
Michel Modo : la Merluche, un serviteur d'Harpagon
Max Montavon : Maître Simon
Micheline Bourday : Dame Claude, une servante
Madeleine Barbulée : La mère de Marianne
Pierre Aussedat : Le clerc
Gaelle Legrand : Une servante
Claire Favreto : Une servante

Notes :

À la suite du Gendarme et des extra-terrestres, Louis de Funès retrouva le réalisateur Jean Girault, afin de concrétiser un vieux rêve : interpréter un des plus illustres rôles du répertoire classique, Harpagon, héros de " L'avare " de Molière. Pour tourner cette célèbre pièce dans le texte intégral, Louis De Funès ne se contenta pas de tenir son rôle, il fit beaucoup plus. On lui doit le choix de l'équipe entière des techniciens aux acteurs et même du laboratoire. C'est lui qui fit passer les auditions pour tous les rôles secondaires. Chaque matin, avant de commencer le tournage, il fit répéter les comédiens. Il s'occupa également des décors et traça les grandes lignes de la mise en scène aidé techniquement par Jean Girault.



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MessagePosté le: 01 Mar 2007, 14:53    Sujet du message: Répondre en citant

Pulsions est un film de suspense américain de Brian De Palma réalisé en 1980.

Synopsis :

Kate Miller souffre de fantasmes érotiques si vivaces qu'elle a du mal à faire la part du rêve et de la réalité. Un matin, elle se rend chez son psychiatre, Robert Elliot, pour lui parler de ses déceptions sexuelles avec son mari. En se rendant au musée, Kate séduit un homme qui l'emmène dans son appartement pour y passer la nuit.
Le lendemain matin, en prenant l'ascenseur pour quitter l'immeuble, Kate est atrocement assassinée à coups de rasoir par une femme blonde portant de grosses lunettes noires... Liz Blake, une call-girl de haute volée, est témoin du crime : elle a aperçu la tueuse au rasoir.
Le jour suivant, au commissariat de police se retrouvent le docteurr Elliot, Peter Miller, le fils de Kate, et Liz Blake. Tous les soupçons retombent sur Liz. Dans les jours qui suivent, la call-girl est traquée par la tueuse blonde, mais Peter réussit à la sauver in extremis.
Le fils de Kate, spécialiste en électronique, met au point une caméra qui lui permet de découvrir que la tueuse est une patiente du docteur Elliot. Afin de découvrir le nom de la malade, Liz essaie de charmer le psychiatre afin de dérober son carnet de rendez-vous. En fait, la meurtrière n'est autre que le docteur Elliot, un schizophrène habité par une personnalité féminine et meurtrière, Bobbi.
Sauvée par la police, Liz rentre avec Peter. La nuit, elle fait un horrible cauchemar, dans lequel elle voit le docteur Elliot tuer une infirmière, pour venir l'égorger avec un rasoir...

Fiche technique :

Titre : Pulsions
Titre original : Dressed to Kill
Réalisation : Brian De Palma
Scénario : Brian De Palma
Musique : Pino Donaggio
Date de sortie : 15 mars 1981
Film américain
Format : Panavision, 35 mm, 2:35.1 (Technicolor, son Dolby numérique)
Genre : Thriller, mœurs, suspense
Durée : 105 minutes
Interdit en France aux moins de 16 ans lors de sa sortie en salles

Distribution :

Michael Caine : docteur Robert Elliott
Angie Dickinson : Kate Miller
Nancy Allen : Liz Blake
Keith Gordon : Peter Miller
Dennis Franz : inspecteur Marino
David Margulies : docteur Levy
Ken Baker : Warren Lockman
Susanna Clemm : Betty Luce
Brandon Maggart : Cleveland Sam
Amalie Collier : femme de ménage
Mary Davenport : femme au restaurant
Anneka Di Lorenzo : infirmière
Norman Evans : Ted
Robbie L. McDermott : l'homme sous la douche
Bill Randolph : taxi
Sean O'Rinn : taxi du musée
Fred Weber : Mike Miller

A propos du film :

Si le film pêche par quelques petites boursouflures (un peu de pommade hitchcockienne), il mérite d’être vu rien que pour sa séquence d’anthologie de la drague au Metropolitan Museum of Art : 9 minutes 40 secondes muettes où Kate Miller, en femme frustrée sexuellement, va passer par tous les états.
Un beau spécimen de mâle s’assied à ses côtés face à des portraits qui semblent douter eux-mêmes de l’issue bénéfique de la chose (le tableau à la femme brune au regard perplexe). Kate est d’abord déçue de ne pas être immédiatement accostée par le bel inconnu restant sans réaction devant son regard enjôleur. Considérant qu’elle a peut-être effarouché le monsieur par une invite trop directe avec son sourire avenant, Kate retire un gant pour étaler son alliance prouvant, selon elle, qu’elle n’est pas la femme facile que l’on croit. Le monsieur quitte alors leur banc.
À partir de là, passant de salle en salle à la recherche de « sa proie », Kate passe de la même façon par tous les états contradictoires de la femme fébrile insatisfaite à la libido exacerbée : effrontée, offensée, éperdue, défaillante, offerte… Après que sa paire de gants a été récupérée par deux mains différentes, celle du plaisir défendu et celle de la punition, la séquence s’achève par le contact très direct de Kate avec « sa conquête » qui lui tend le gant de la luxure vers lequel elle accourt sans plus aucune retenue et sans voir, en la croisant, sa prochaine mort sévère…

Notes :

Le titre original, Dressed to Kill, est une expression anglaise signifiant « être tiré à quatre épingles, être sur son trente et un » mais qui signifie littéralement « habillé pour tuer », définition qui prend tout son sens dans le film...
Représentant typique de cette série de films qui valurent à Brian de subir une filiation paresseuse au grand Alfred Hitchcock, Pulsions n’est assurément pas la copie d’un élève studieux mais bien un prolongement personnel de l’œuvre du maître. Au sommet sûrement, la séquence de filature au musée hantée par le fantôme de Kim Novak.

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MessagePosté le: 01 Mar 2007, 15:05    Sujet du message: Répondre en citant

The Blues Brothers est le nom d'un groupe de blues composé des comédiens, Dan Aykroyd et John Belushi.

Belushi (alias le chanteur Jake Blues) et Aykroyd (alias le joueur d'harmonica Elwood Blues), tous les deux membres de l'équipe originale de l'émission de télévision Saturday Night Live de la chaîne NBC, créèrent The Blues Brothers et leurs identités alternatives au début de 1976 pour chauffer le public de SNL.
Les Blues Brothers firent leur première apparition live dans SNL, avec Belushi et Aykroyd portant leurs costumes d'abeilles, qu'ils portaient normalement pour le sketch « Killer Bees », jouant « I'm a King Bee » de Slim Harpo. Dans les semaines suivant cette apparition, The Blues Brothers devinrent un ajout populaire au show et commencèrent à apparaître de façon semi-regulière. L'aspect humoristique repose en partie sur l'image de deux hommes habillés de costumes noirs ayant l'air de tueurs à gages mafieux, qui soudain explosent en chansons et danses énergiques.
Jake et Elwood étaient appuyés par des gens de qualité, comme le guitariste Steve Cropper, le bassiste Donald « Duck » Dunn et Matt « Guitar » Murphy.
Les Blues Brothers enregistrèrent leur premier album, Briefcase Full of Blues, en 1978 lors de la première partie du comédien Steve Martin à Los Angeles. L'album devint disque de platine, incluant les titres « Soul Man » et « Rubber Biscuit » qui figurèrent tous les deux dans le Top 40.
En 1980, le film The Blues Brothers, réalisé par John Landis, sortit sur les écrans de cinéma, avec les apparitions d'Aretha Franklin, James Brown, Cab Calloway, Ray Charles, John Lee Hooker, Carrie Fisher, Frank Oz, Steven Spielberg, John Candy et Paul Reubens. Le film se déroule à Chicago.
(Les Blues Brothers partirent également en tournée cette même année pour promouvoir le film. Jake et Elwood sortirent leur second album, Made in America, contenant les deux titres « Gimme Some Lovin' » et « Who's Making Love » qui figurèrent dans le Top 40.)

Synopsis :

Le film s'articule autour des deux personnages qui lui donnent son titre, les frères Blues, gangsters flegmatiques et sympathiques, reconnaissables à leurs Ray Ban, leurs montres et à leurs costumes noirs. Ils se retrouvent lorsque « Joliet » Jake (incarcéré pour vol a main armée) est libéré de la « Prison Joliet » sous la responsabilité de son frère Elwood. Ils apprennent que l'orphelinat où ils ont été élevés va être rasé, à moins de payer les arriérés de taxes foncières dans les plus brefs délais. Il ont 11 jours pour rammener l'argent à la mère supérieure, "la pingouine". Les aventures commencent, et dès le début leur conduite insouciante (dans une vieille voiture de police Dodge Monaco 1974, affectueusement connue en tant que Bluesmobile), attire l'attention de la police.
Les Blues Brothers passent donc le reste du film à chercher les membres de leur groupe désormais dissous, pour les convaincre de les rejoindre à nouveau. Ils souhaitent remonter sur scène afin de récolter honnêtement la somme de 5 000 $ nécessaire à la survie de l'orphelinat. Leurs trajet est ponctué de péripéties, où prennent place des numéros musicaux à la fois spontanés et organisés, hommages au Rhythm and blues noir américain. Comédie musicale, le film truffé de scènes d'action, implique de talentueuses légendes qui reprennent des standards de la musique populaire américaine. Le duo se fait de nombreux ennemis, notamment un groupe néo-nazi, la police de Chicago puis celle de tout l'état de l'Illinois, une équipe de chanteurs country et l'ancienne fiancée de Jake, qui tente de les assassiner de nombreuses manières... Il en résulte plusieurs courses poursuites en voiture et une énorme quantité d'accidents (plus de soixante véhicules de police sont détruits et treize Bluesmobiles sont nécessaires pour les scènes de carambolage, ce qui est à ce jour le record du plus grand nombre de véhicules détruits dans un film, parodiant la course poursuite du film French Connection).

Fiche technique :

Titre : The Blues Brother
Titre original : The Blues Brothers
Réalisation : John Landis
Scénario : John Landis et Dan Aykroyd
Production : Robert K. Weiss pour Universal Pictures
Pays d'origine : États-Unis
Format : Couleurs (Technicolor) - son : stéréo magnétique et mono optique
Genre : comédie, film d'action, film musical
Durée : 133 minutes / 148 minutes (version longue)
Date de sortie : 7 novembre 1980 (France)

Distribution :

John Belushi : Joliet "Jake" Blues
Dan Aykroyd : Elwood Blues
James Brown : le réverend Cleophus James
Cab Calloway : Curtis
Ray Charles : Ray
Aretha Franklin : Mrs. Murphy - la propriétaire du « Soul Food Café »
Steve Cropper : Steve "The Colonel" Cropper
Donald Dunn : Donald "Duck" Dunn
Murphy Dunne : Murph
Willie Hall : Willie "Too Big" Hall
Tom Malone : Tom "Bones" Malone
Lou Marini : "Blue Lou" Marini
Matt Murphy : Matt "Guitar" Murphy
Alan Rubin : Mr. Fabulous
Carrie Fisher : la femme mystérieuse
Twiggy : la femme à la jaguar
Steven Spielberg : le receveur d'impôts
Frank Oz : le contrôleur judiciaire
Charles Napier : Tucker McElroy

Autour du film :

Les frères Blues donc sont dénommés Joliet et Elwood : ce sont également les noms de deux villes situées au sud-est de Chicago,dans l'Illinois.
The Blues Brothers est souvent considéré comme l'une des meilleures adaptations cinématographiques de sketches de Saturday Night Live.
En 1981, The Best of the Blues Brothers fut disponible.
Le 5 mars 1982, Belushi meurt à Hollywood d'une surdose.
En 1988 Cropper, Dunn, Murphy et d'autres reformèrent le groupe The Blues Brothers pour une tournée mondiale. Ils sortirent un nouvel album en 1992 intitulé Red White and Blues, avec comme invité Elwood Blues.
Akroyd lança sa franchise House of Blues, une chaîne internationale de clubs de blues. En tant qu'Elwood, il heberge la « House of Blues Radio Hour. »
En 1998, Blues Brothers 2000 sortit sur les écrans, mais n'atteindra pas le succès du premier opus. On y trouve John Goodman chantant avec Aykroyd et des apparitions caméras de Blues Traveler, B.B. King, Erykah Badu, Junior Wells, Taj Mahal, Lonnie Brooks, James Brown, Eric Clapton, Steve Winwood, Paul Shaffer, Koko Taylor, Bo Diddley, Isaac Hayes, Dr. John, Lou Rawls, Travis Tritt, Jimmie Vaughan, Wilson Pickett et de nombreux autres.

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