Kolaps Seigneur du Forum


Age: 53 Inscrit le: 31 Mar 2005 Messages: 11587 Localisation: Rambouillet
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Posté le: 21 Juin 2005, 20:53 Sujet du message: faits insolites (370) |
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Amant de l'épouse du PDG, il est condamné pour faute professionnelle.
GRENOBLE (AFP) - La chambre sociale de la cour d'appel de Grenoble a confirmé le licenciement pour faute professionnelle de l'ex-directeur de production d'une entreprise iséroise parce qu'il était l'amant de l'épouse du PDG. (il a peut etre mal fait son boulot d'amant ??? lol)
La cour d'appel a estimé que M. X, l'amant (enchanté), "avait manqué à son devoir de loyauté" (c'est le moins qu'on puisse dire oui !!), mais a toutefois écarté "la faute grave" qui avait été retenue par le conseil des Prud'hommes, au profit d'une "faute réelle et sérieuse", a révélé le quotidien le Dauphiné Libéré dans son édition de jeudi.
L'amant contestait son licenciement pour "faute grave" (oui on peut pas dire qu'il se soit pas impliqué à fond !! lol), intervenu en juin 1999, un an après son embauche, soulignant qu'aucun reproche d'ordre professionnel ne lui avait jamais été fait et que ce licenciement était le résultat d'une liaison privée et intime avec l'épouse du PDG. (des détails !! des détails !!)
"Il ne saurait être contesté que l'occupation des trois postes clés par le mari, l'épouse et l'amant ne pouvait être que néfaste à l'harmonie et à la relation de confiance qu'ils exigent et par voie de conséquence à un fonctionnement positif de l'entreprise", selon l'arrêt de la cour d'appel. (c'est pas faux... bonjour l'ambiance au boulot !!)
"Il est bien clair que (le PDG) ne pouvait plus, après avoir découvert la relation de son épouse avec M. X, conserver à celui-ci toute sa confiance, y compris au niveau professionnel; que son comportement a eu nécessairement et inévitablement des répercussions sur le fonctionnement de l'entreprise dès lors que les trois intéressés occupaient des postes clés et complémentaires au sein de la même entreprise". (ah l'épouse bosse aussi dans la meme entreprise, ouhlala le bordel !)
La cour a cependant estimé que "la faute de M. X, bien que justifiant le licenciement, n'était pas d'une gravité telle qu'elle interdisait le maintien du contrat de travail pendant le préavis". En conséquence, l'employeur a été condamné à payer une indemnité de préavis. (il doit être vert de rage le pauvre mari !) |
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